Des animaux et des hommes

Des animaux et des hommes   

Desanimauxetdeshommes 1

Alain Finkielkraut, philosophe et essayiste, académicien, et animateur de débats sur France culture -  a fait paraître aux éditions STOCK  ce livre, transcrivant ainsi par écrit des débats oraux entre intervenants choisis pour leur compétence et leurs fonctions dans ce domaine. Lui même, habile chef d'orchestre, participant aux débats, et les animant. Moi-même, Simone SCHLITTER, ai lu et relu ce livre, et je n'ai pu m'empêcher d'en communiquer mes impressions et sentiments à l'auteur. J'en reprends l'essentiel ci-dessous.

 

Voyez en fin de texte les noms, abrégés ici, des personnes concernées.

 

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L'amour vis à vis de nos frères animaux qui se dégage de ces débats – au travers de réflexion intellectuelles et d'arguments de philosophe, c'est lui qui prime, et de ceci, AF, je vous sais gré – en particulier dans votre « Pour conclure » final, où vous montrez bien le taureau Civilon gracié, racheté par son éleveur ému, pour finir, indignement, en « poids de viande »...et la conclusion implicite de cette conclusion pourrait bien être :

 

« Quelle que soit de nos actions la noblesse concrète – et de notre volonté la noblesse potentielle,

 les aléas de la vie n'en ont vraiment rien à foutre ! » 

 

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Le chapitre 9  qui précède, en effet, ne me semble pas une conclusion...ce serait plutôt une oraison, une ode, faite au chien Niki, au travers de ce beau livre de Tibor Déry dont vous nous entretenez. Quand bien même le chien Niki est bien réel, et n'est nullement le représentant symbolique des chiens, il me semble tout de même bien d'avoir choisi un chien, le plus fidèle ami de l'homme, pour terminer sur cette longue note de mélancolie qui va crescendo.

 

Et votre final « Pour conclure » me semble dire aussi, au travers de mots non prononcés : « on ne peut rien conclure. C'est ainsi, simplement » !

 

 

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J'en reviens à la tauromachie : tous les avis exprimés me semblent pertinents, que ce soit les « pour » ou les « contre », en l'occurrence ceux de Mme EF, particulièrement percutants, d'ailleurs. Je n'ai jamais vus de courses de corridas « pour de vrai »point par manque d'intérêt, mais par manque d'occasions facilitantes... 

Sur le petit écran, l'ambiance n'est pas réellement rendue, il manque certaines vibrations...

Il est certain que le taureau n'est pas dans des conditions idéales pour combattre « équitablement ».

A défaut de parler de perversité et de plaisir suspect, (ce qui me semble très exagéré...), je dirais quand même, perso, que ce spectacle stimule, chez certains, l'ADN de l'homme-chasseur, à défaut de celui de l'homme-cueilleur. 

 

Je dirais la même chose du pêcheur, d'ailleurs...FW, en l'occurrence cible privilégié de EF, a certes raison d'évoquer « l'innocent » plaisir du pêcheur, d'un certain point de vue tout aussi révoltant  que celui du contemplateur de taureaux « suppliciés ». Sans guillemets ? Selon les points de vue, oui, on peut enlever les guillemets.

 

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Tout au long de cette discussion sur le pour et le contre, à propos de la corrida, est aussi évoqué l'élevage de masse du bétail, et sa souffrance – avant et pendant l'abattage.(Et même la souffrance du personnel...) Point commun avec ce qui précède : la souffrance animale. La première, pour la tradition, et cette combativité estimée noble,  plaisir des esthètes, et la seconde pour le meilleur profit financier.

 

Vous évoquez les n° dans l'oreille des bêtes. Tout un symbole, en effet. Cela m'a perso toujours choquée de contempler le bétail ainsi affublé. Toutefois ce genre de symbole est devenu monnaie courante, même pour les humains : au supermarché, nous prenons un n° dans la file, en attendant  notre tour. Le prisonnier en semi-liberté porte un bracelet numéroté au pied, et bientôt nous aurons à l'instar des chiens des puces électroniques sous la peau en guise de carte d'identité. Cela me révulse, certes...

 

Vous vous posez la question, Mr AF : comment faire pour faire changer cette barbarie de l'élevage ainsi industrialisé !?

 

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Pour AF : je comprends que vous soyiez une cible pour les journalistes, lesquelles (féminin pluriel), en choeur, et au rythme cité plus haut (1,5 s entre les répliques) vont aimer vous faire le procès des « antimodernes » ! (ceci à propos – entre autres - de la citation d'Héraclite : «  il faut éteindre la démesure plutôt que... »)

 

Ah, Mr AF, quel regard de philosophe cachant son affliction, vis-à-vis des vacances et des loisirs en sentiers battus ! Organisés. Téléguidés. Vous ne risquiez pas de m'y rencontrer...Et l'inverse non plus, c'est certain !

 

Merci à BD et AF et FM de l'expression de ces conceptions si saines et tellement à contre-courant aujourd'hui ! De vos considérations sur, à présent « la fausse campagne », aussi. Ici où je réside notre campagne s'est transformée ainsi que vous le montrez...il a été fait une pétition contre mon chien qui avait aboyé, le 1er mai à 8 h du matin. Plus de coq qui chante. Plus de tas de fumier. Du béton. Quelques fleurs aseptisées. Comme il se doit.

 

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Lorsque JPD parle, à propos de l'homme comparé à l'animal, d'un hiatus cognitif énorme, je lui donne raison . Simplement, dans mes propos, quelques paragraphes plus haut, je me plais à mettre l'accent sur des qualités animales que l'homme ferait parfois bien de copier : amour de ses petits et soins sans relâche, en risquant sa vie (papa et maman pingouin qui se relaient, entre autres...) et aussi en imaginant l'homme seul dans la brousse, sans son couteau et la fée électricité. L'hiatus cognitif, par rapport à ces mains nues, ne l'aiderait pas beaucoup, tout le monde est bien d'accord. Trop de personnes sont infatuées de leurs qualités, par rapport à « l'animal ». Les facultés d'adaptation au milieu ne sont-elles pas aussi un critère de « l'intelligence », concept un peu trop fourre-tout qui dispense le commun des mortels à essayer de  définir les différents aspects que cette intelligence peut revêtir... ? Et à ce critère, où est la supériorité actuelle de l'homme, coincé entre les dégâts à la nature déjà occasionnés par lui - ceux «en cours de l'être » - ceux « qui le seront par un processus naturel de dégâts en chaîne suivant son cours » - et ceux- futurs – dont il ne sait détourner la programmation mise sur rail par nos économistes ?

 

* * *

 

Un argument scientifique de taille : Entre un homme et un chimpanzé, il y a un pourcentage de gènes qui diffère, inférieur à celui qui diffère d'entre le chimpanzé et les autres singes... Cela peut laisser songeur...

 

Je suis bien d'accord avec vous, Mr AF et Mme EF : « le lion ne sera jamais responsable de l'antilope », et l'homme évolué se sentira responsable du bien-être animal. Donc il n'est pas un animal au même titre que les autres. Certes, c'est pertinent. Mais on sait aussi que les fourmis se sentent à la fois responsables de leur fourmillière, mais aussi des pucerons qu'elles élèvent...la marge se réduit...

 

Et on sait aussi que l'homme qui se SENT responsable de ses frères inférieurs, agit en total irresponsable, la plupart du temps !

 

Et pourquoi donc mettre ainsi l'homme à part, dans le règne animal, puisque chaque être vivant est singulier.

 

L'un de vos intervenants le dit d'ailleurs très bien dans votre livre.

 

* * *

 

Un argument scientifique de taille : Entre un homme et un chimpanzé, il y a un pourcentage de gènes qui diffère, inférieur à celui qui diffère d'entre le chimpanzé et les autres singes... Cela peut laisser songeur...

 

Je suis bien d'accord avec vous, Mr AF et Mme EF : « le lion ne sera jamais responsable de l'antilope », et l'homme évolué se sentira responsable du bien-être animal. Donc il n'est pas un animal au même titre que les autres. Certes, c'est pertinent. Mais on sait aussi que les fourmis se sentent à la fois responsables de leur fourmillière, mais aussi des pucerons qu'elles élèvent...la marge se réduit...

 

Et on sait aussi que l'homme qui se SENT responsable de ses frères inférieurs, agit en total irresponsable, la plupart du temps !

 

Et pourquoi donc mettre ainsi l'homme à part, dans le règne animal, puisque chaque être vivant est singulier.

 

L'un de vos intervenants le dit d'ailleurs très bien dans votre livre.

 

Mme CP précise : « l'antispécisme ne suppose pas de mettre à égalité toutes les espèces ».

 

Bien évidemment. Je crois que pour le faire, il faudrait être Dieu...Et l'homme en est loin...Nous avons nos sympathies et nos aversions. Pour s'empêcher d'écraser une araignée, il faut vraiment se faire violence – or ne participe-telle pas à l'équilibre de notre milieu , elle aussi !?

 

Mr JPD me semble dire très justement « Pour un animaliste de base, l'antispécisme a tendance à se transformer en un spécisme antihumain » !

 

Comme si (c'est moi qui le dis...) il y avait lieu de prendre une revanche sur l'humain. J'ai constaté parfois beaucoup de fanatisme dans certaines actions, avec un zèle totalement disproportionné dans la recherche de « la faute » de l'humain. La SPA, pourtant si utile à la gente animale n'est à ce propos pas exempte de reproches. Je pourrai donner à l'appui un douloureux exemple vécu, dont je m'abstiendrai, afin de réduire mes parenthèses perso, déjà fort nombreuses...

 

Toujours pour JPD : il reproche à CP d'avoir en quelque sorte transformé le terme « dominateur » en gros mot . C'est tout à fait l'impression que j'en ai eu personnellement : (Selon CP : dominance  égale violence - violence sous toutes ses formes, d'ailleurs...)

 

Et il dit (je résume à peu près le sens)  : l'homme, certes, et cela est inévitable, domine l'animal qu'il a domestiqué, mais le plus souvent quand il le peut, c'est un bon père pour l'animal. 

 

De sa part aussi  l'accent mis sur le paradoxe suivant, et je ne puis qu'y adhérer :

« L'espèce humaine serait donc la seule à laquelle on interdirait d'assumer sa nature d'omnivore, de dominateur, d'exploiteur de la planète, etc. ? »

 

En effet : 

un peu de tempérance dans une course à l'auto-flagellation serait peut-être ici la bienvenue ! Toutefois, notre dominance sur les autres espèces déséquilibre la faune et la flore, il serait donc temps de la freiner, afin d'assurer, aussi, notre propre survie.

 

AF,  vous êtes inquiet du programme que Mme CP suggère, et en particulier, c'est « le 1er temps », qui déjà vous interpelle fortement. Et effectivement, on voit mal comment ne plus domestiquer nos animaux domestiques permettrait leur préservation ! 

 

Toutefois, un peu plus loin, l'un de vos intervenants avançait l'argument suivant : « pourquoi donc vouloir à tous prix préserver la survivance de cette domestication, la culture de cette domestication !?

 

J'oserais émettre l'avis perso suivant : « nous sommes dans le noir complet à propos de ce qui pourrait alors arriver...nous avons dans certains cas joué à l'apprenti-sorcier « à l'endroit », et avons peur de le jouer à l'envers... C'est vrai pour tout, d'ailleurs. Certains sont pour la préservation du loup qui disparaît, d'autres pour la préservation de leurs troupeaux. L'homme est dépassé par les conséquences de ses interventions sur la faune et la flore.

 

Et, toujours, lancinantes, reviennent ces questions : ne plus manger de viande ? Revenir à des élevages « familiaux », mais dès lors comment nourrir les humains en croissance exponentielle ? 

 

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p 181 et suivantes :

« Nous, les hommes et les femmes du 21è s, traitons notre propre esprit avec la même avidité et la même férocité que nous traitons la terre et les animaux : nous devons produire sans cesse..... » affirme IS. Je reste saisie en face de la justesse incisive de cette constatation.

 

* * *

 

Vous, AF, militez (entre autre) pour la non-disparition des animaux d'élevage traditionnels, modelés ainsi par l'homme depuis la nuit des temps. Vos arguments sont pertinents. D'autres, entre autres JBDA, militent pour la non-exploitation de l'animal, pour des espaces sanctuarisés, pour la remise en question de nos comportements de consommateurs...

 

Tous les arguments avancés par les uns et les autres me semblent à la fois valables et non praticables...Un exemple: des espaces sanctuarisés.

 

Nous serons, si rien ne change, 10 milliards d'humains bientôt...les terres fécondes se rétrécissent et se polluent. Nous vivrons de plus en plus « en hauteur » (gratte-ciels), ne pouvant plus nous étendre en largeur...Un espace sanctuarisé pour les animaux me semble dès lors un rêve pieux. A moins de le placer sur un gratte-ciel ! La « première priorité » actuelle me semblerait bien être : réduire les naissances drastiquement, partout. Or cette mesure est tout à fait politiquement incorrecte à l'heure actuelle. Voilà à mon avis le vrai dilemme.

 

Moi aussi je rêve d'élevages familiaux, avec un cheval, plusieurs vaches, quelques chèvres... et au moins un petit cochon qui ne me labourerait pas trop l'espace environnant par ses canines aiguisées.  Mais je sais que ce n'est qu'un rêve. Même si j'ai plaisir à le caresser, pour me changer les idées.

 

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En conclusion : je n'ai pas de recette et encore moins de méthode à fournir, concernant le bien-être ou la disparition de nos animaux domestiques. Un certain bon-sens m'incite à souhaiter ceci :

 

  • plus d'élevage industriel déshumanisé...et plus de travail à la chaîne, non plus, pour l'homme, qu'en ce faisant on abruti autant qu'on abruti l'animal !
  • Mais, parallèlement, moins d'hommes sur la terre, sinon, on aura beau faire...
  • Garder à l'homme une alimentation omnivore, donc aussi forcément carnivore, tout en réduisant la consommation de viande par habitant, souvent très abusive.
  • Se méfier énormément des nourritures à partir de cellules souches, industrialisées, elles me sont hautement suspectes
  • Ne plus utiliser d'antibiotiques pour le bétail, et le porc en particulier. Ce porc, bon marché, est d'ailleurs immangeable pour un palais fin (ainsi que vos intervenants l'affirment, d'ailleurs, à juste titre : le porc gras n'est plus fabriqué, et le porc maigre insipide et FIBREUX. Et vous ne parlez nulle part du lard, lequel, pauvre en gras, ne contient plus que des fibres, du colorant, et des nitrites, à l'étal des hypers (cela, c'est MOI qui le dis...)
  • Ne plus fabriquer de poulets aux hormones, favorisant des cancers, ceux-ci en croissance exponentielle en même temps que croît la production de polluants de plus en plus variés.

 

Ces dernières considérations paraissent davantage refléter un soucis pour la santé et le confort de l'humain que pour le bien-être animal. Mais n'oublions pas que l'un n'exclut nullement l'autre...

 

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P 241 et suivante :

Le rythme animal. Le rythme du vivant. Les zoos :

Les zoos ont changé – les animaux ont droit à leur isolement, ainsi que vous l'exprimez. Ici, en Moselle, à Amnéville, existe un grand zoo, depuis de longues années, qui, actuellement, semble souffrir de problèmes financiers. Ce qui est infiniment regrettable. Car son propriétaire, Michel Louis (lequel se prêterait sûrement volontiers à une ITW de votre part, Mr AF...). Il adore visiblement les animaux. J'ai visité plusieurs fois ce zoo. Je ne le fais plus, actuellement, car la journée est physiquement devenue pour moi qui ai pris de l'âge trop fatigante : des km de marche, et j'adore m'attarder devant chaque enclos. Le personnel soignant est irréprochable.J'y sens les animaux heureux. Ils sont protégés de l'homme, aussi. Et lorsqu'il y a des naissances, cela ne se passe pas du tout comme avec le girafon de Copenhague : des accords sont conclus avec d'autres zoo, pour des échanges respectifs après certaines naissances.

 

* * *

 

En réponse à JCB :

J'apprécie moi aussi ce rythme animal « au ralenti » - pas seulement chez la girafe, d'ailleurs : ce plaisir de vivre au ralenti (entre 2 bonds, entre 2 agitations), je l'apprécie, d'un enclos à un autre, de même qu'à contempler un troupeau de vaches, ou de chèvres, ou des chevaux, dans les prés. Je le savoure, comme quelque chose que l'homme a perdu, et n'a pas su ou voulu retrouver.

 

Il est temps aussi, Alain Finkielkraut,  que je vous exprime mon admiration pour cet énorme travail d'avoir su choisir vos intervenants avec une opportunité fine, de façon à alimenter cette longue suite de causeries-débats,  sans jamais que l'intérêt ne se relâche. Et, en vous référant, les uns et les autres, souvent, à des œuvres ultérieures d'auteurs, qui, bien avant nous, ont étudié, admiré et aimé l'animal. Avec un étonnement d'enfant. Comme nous.

 

Enfin, dans votre livre, les affirmations et arguments des uns et des autres, auxquels je n'adhère pas forcément, mais qui toujours me passionnent, sont si multiples, que je ne puis, en quelques pages, en donner mon sentiment. Il me faudrait vous écrire un livre en retour. Ce n'est, certes, pas interdit – mais hors de portée de « mon potentiel énergétique »  en ce moment!

 

En face de vos bagages respectifs, je me sens toute petite. L'idée ne me viendrait même pas d'oser aborder avec vous tous une conversation, à ce propos, si le grand âge aidant ne m'avait octroyé beaucoup de recul, et ne me donnait envie, aussi, de poser mes valises, d'accepter de faire provision d'informations pas seulement superficielles - donc de beaucoup lire – et aussi d'écrire - et de profiter du peu de temps qui me reste pour clore mon parcours de vie de la façon que j'aime.

 

Je relirai votre livre. Il restera longtemps, à ma portée, entre ma loupe grossissante et mon pense-bête, là où j'aime m'installer, lorsque je ne veux ni m'endormir devant la télé, ni écrire sur l'ordi, ni promener le chien, ni me livrer à des activités sociales utiles, intéressantes et nécessaires au physique, au moral et au mental. 

 

Et je profiterai de l'instant présent, en sirotant mon café. Des moments tels celui-là, mon mental les revendique de plus en plus. Nadal, le Beauceron, sera couché à mes pieds, sous la table. Et je songerai :  « la vie est belle ». Et cet Alain Finkielkraut, avec sa mèche rebelle - tous ses bouquins -  son bagage – ses mains tremblant un peu lorsqu'il s'énerve - et son index qui se lève pour réfuter l'argument, à la télé -  un sacré type, quand même !

 

 

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Les participants aux débats, dans l'ordre où je les cite :

 

AF  Alain Finkielkraut

EF  Elisabeth de Fontenay

FW  Francis Wolff

BD  Benoît Duteurtre

FM  François Morel

JPD  Jean-Pierre DIGARD

CP  Corinne Pelluchon

IS : Isabelle Sorente

JBDA  Jean-Baptiste Del Amo

JCB  Jean-Christophe Bailly

 

Ci-dessous le nom des autres intervenants, non cités nommément dans cet extrait, mais j'ai lu, avec, toujours,  un grand intérêt, les interventions :

 

Hubert Charuel

Vincent Delargillière

Jacques Dewitte

Claude Habib

Pierre Pachet

Jocelyne Porcher

Yann Sergent

 

 

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Bd zoo chameau