Le danger existe, identifié, tout près de chez nous...

Pour suivre l'avancée de notre pétition, jour après jour, contre ce projet, veuillez cliquer sur ce lien.

D'autres gens, près de la frontière, s'inquiètent, eux aussi ! Nous publions ci-dessous un extrait du RL de ce jour, 2 octobre 2015. Il paraît sous THIONVILLE ET sous LONGWY, ET sous VILLERUPT !

L'une des différences, entre l'entreprise en question, dans le présent, et celle, projetée, pour le futur, par Mr le Dr Wolf (ne lui enlevons pas son titre de médecin!) est que dans le 1er cas, l'entreprise semble fonctionner illégalement, et que, dans le 2è cas, l'entreprise semble devoir fonctionner légalement ! Les autres différences, nous ne les connaissons guère, puisque le dossier, une fois de retour de la préfecture en mairie, ne sera à disposition du public, pour observation sur un régistre prévu pour, que 15 jours, et pas un de plus, en admettant que le public ait connaissance de cette arrivée dès le 1er jour, ce qui, matériellement, peut très bien ne pas être possible ! Qui pense sérieusement pouvoir comprendre grand chose à un dossier touffu, soumis pour lecture, quelques heures durant, à une personne non initiée aux termes techniques !?

C'est pourquoii, cher Mr le Dr Wolf, et cher Mr le Maire, nous essayons ici, ce faisant, d'initier un max de personnes aus subtilités des lois (la théorie) , celles-ci loin d'être toujours possiblement respectées dans les pratiques courantes.

 

« Alors, nous dira à nouveau Mr Wolf, svp, un peu de patience, attendez d'être « battus, avant de crier » !

 « Eh bien, non, justement, nous crions avant, et peut-être ainsi ne serons-nous pas battus, après ! »

 

Et si Mr Wolf poussait la complaisance jusqu'à mettre à notre disposition DES A PRESENT, copie INTEGRALE  de ce dossier. Il lui en coûterait quoi, au juste !? Mr Wolf, pouvez-vous le faire ? Nous publierons intégralement ce dossier sur notre site, nous nous y engageons ! Dès sa réception ! (Peut-être pas non plus demain la veille...)

 

A présent, trêve de conditionnel : vous verrez, à la lecture, qu'il est question de « concassage » dans cet article. Pourquoi donc ce concassage, si rapide, après le stockage !? Nous non plus nous n'avions pas trop compris avant qu'on nous l'explique...mais ensuite cela devint pour nous clair comme l'eau de roche (de plus en plus rare, celle-là!) :

 

Parce que le concassage fait disparaître et délaye dans la masse toutes les particules visibles qui opposeraient à la loi leur fâcheuse structure interdite, telles que morceaux identifiables d'amiante-ciment, plâtre, etc.etc. Ainsi, on n'aura même plus besoin de contrôler (à « l'oeil » - c'est texto marqué ainsi dans le texte de loi !!!!) de contrôler le dessus du contenu du camion-transporteur, on pourra même, à l' « oeil », tranquillement, en contrôler le fond !!

 

Ce que nous pouvons encore vous dire : quelqu'un a photographié le chemin pris par un certain véhicule, ainsi que son immatriculation, depuis son chargement avec des gravats plus que suspects, depuis une maison en démolition, à Zoufftgen, jusqu'à un entrepôt de concassage...Edifiant !! Nous nous réservons le droit de publier...

Venons-en à l'actualité de ce jour :

« Oyez, brave gens ! » :

 

Le sous prefet francois proisy au centre est alle a la rencontre du gerant de l entreprise aux cotes d alain casoni et d elus locaux photos rene bych et dr

Le sous-préfet François Proisy (au centre) est allé à la rencontre du gérant de l'entreprise , aux côtés d'Alain Casoni et d'élus locaux. Photos René BYCH et DR

 

Le feuilleton, qui dure depuis plusieurs semaines, est en passe de trouver son épilogue. Au cœur de la polémique, l’entreprise XL Démolition, dans le collimateur de la municipalité de Villerupt depuis son installation sur le site de Micheville. « Cette société a commencé à faire du stockage et du concassage de matériaux au mois de mai dernier. Une activité pour laquelle aucune autorisation n’a été délivrée », souligne le maire, Alain Casoni, qui dénonce également les passages incessants de poids lourds dans les rues Ferry et Curicque. « Des rues qui ne sont pas dimensionnées pour cela. On se fait régulièrement interpeller par les riverains pour des problèmes de sécurité », ajoute l’élu. « Comment une société peut-elle vivre ou survivre si elle ne peut pas exercer normalement son activité ? », s’est indigné José Mateos, le gérant du site villeruptien.

Interpellé par Alain Casoni, le sous-préfet François Proisy s’est rendu sur place pour tenter de relancer le dialogue – au point mort – entre la Ville et l’entreprise. En amont, il avait pris soin d’alerter la Dreal Lorraine (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement), qui a mené une inspection sur le site de XL Démolition le 22 septembre dernier. Les premières conclusions de cette visite révèlent que le concassage, soumis à réglementation, était réalisé « dans l’illégalité », puisqu’aucune déclaration préalable n’avait été faite auprès des services de l’État.

Une amende

L’entreprise s’est par ailleurs vue infliger une amende de 1 000 € pour contrebande de marchandises. Les matériaux importés du Luxembourg, où se trouve le siège de la société, n’avaient pas été déclarés au service des douanes.

Reste la question de « la sécurité des personne s » et des nuisances (sonores, olfactives…) générées par le transport des matériaux par camions. L’Agence régionale de santé doit être saisie pour se prononcer sur les risques existants.

En lieu et place du Pôle culturel ?

Lors de la visite du sous-préfet, accompagné d’élus locaux, le dirigeant de la société a plaidé sa bonne foi. « La machine (de concassage) est à l’arrêt, et le restera tant que nous n’aurons pas les autorisations nécessaires », s’est-il justifié. « Nous n’en serions pas là aujourd’hui si vous aviez pris la précaution de rencontrer les élus et les services administratifs avant de vous installer ici », lui a répondu Alain Casoni.

La situation est d’autant plus délicate qu’un autre débat entre en jeu : celui de la localisation de l’entreprise spécialisée dans la réalisation de résidences. « La partie du site de Micheville qu’elle utilise est destinée à servir de terrain d’accueil au futur Pôle culturel, le premier équipement emblématique de l’Opération d’intérêt national menée ici, le bras armé du territoire », a reconnu François Proisy.

Le gérant de XL Démolitions voit dans les actions de la municipalité une volonté d’« asphyxier » l’entreprise. « Nous ne souhaitons pas pénaliser l’entreprise mais trouver le bon compromis , a corrigé Alain Casoni. Il s’agit d’engager une discussion, de dégager des pistes pour réfléchir à une autre localisation. » Des possibilités qui n’ont pas convaincu José Mateos. « Des terrains comme celui-ci, sur le secteur, il n’y en a pas », a-t-il conclu, sceptique.

L’activité de l’entreprise XL Démolition & Terrassement a soulevé de nombreuses polémiques depuis son installation sur le site de Micheville, il y a quelques mois. Interpellé par le maire de Villerupt, le gérant plaide sa bonne foi.

 

 Source: le Républicain Lorrain 

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